Au cœur du Sultanat de Naqala, il existe une région montagneuse, difficile d’accès.
C’est là que la tribu des artisans a choisi d’installer ses ateliers pour façonner des objets prestigieux : beaucoup d’entre eux sont simplement magnifiques et valent leur pesant d’or.
Mais certains d’entre eux, uniques, possèdent des pouvoirs… magiques !
Les Artisans sont une nouvelle tribu du jeu et il faudra savoir en tirer parti si vous voulez vous emparer du sultanat !
Représentés par des meeples violets, les Artisans ajoutent une dimension stratégique supplémentaire dans Five Tribes. Ils peuvent fabriquer de superbes objets précieux ou magiques pour les joueurs afin de leur permettre de marquer des points de victoire ou de leur donner accès à de formidables pouvoirs.
Pour accueillir ces nouveaux meeples, l’extension propose également des tuiles supplémentaires : les ateliers et les marchés spécialisés. Les premiers permettent aux Artisans de fabriquer des objets tandis que les seconds permettent aux joueurs d’acheter des ressources spécifiques. Une tuile de crevasse et des pions de montagne complètent l’ensemble : ils auront une influence sur les mouvements des meeples et forceront les joueurs à s’adapter. Deux nouveaux Djinns sont également fournis dans l’extension.
Five Tribes est un jeu pour 2 à 4 joueurs à partir de 13 ans. Une partie dure de 40 à 80 minutes. L’extension, qui nécessite le jeu de base pour être utilisée, comprend 15 meeples en bois, 6 nouvelles tuiles (ateliers, marchés spécialisés, crevasse), 4 campements , 4 cartes Djinn cards (2 nouveaux & 2 mis à jour), 6 montagnes, 18 pions Objet, 1 nouveau bloc de scores et 4 aides de jeu. L’extension sera disponible en boutique spécialisée en Europe en juin et Amérique du Nord en août (GenCon), pour un prix conseillé de 20 €. Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site de Five Tribes à l’adresse www.daysofwonder.com/five-tribes/artisans/
Excellente nouvelle. Gêner le mouvement est une bonne idée. Ça va rendre le tout un peu plus stratégique encore.
PS. “4 cartes Djinn cards”, un mot anglais est resté accroché à ce texte à la fin de l’article.